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La démocratie est tout simplement commencent à fleurir et qui doit impliquer les femmes dans les assemblées législatives, les partis politiques et la société civile en tant que dirigeants, des militants et des citoyens bien informés. Ces programmes créent un environnement où les femmes peuvent plaider en matière de politique, candidats aux élections, être élu, gouverner efficacement, et participer de façon significative dans toutes les facettes de la vie civique et politique.
La femme tunisienne a raté le coche des élections du 23 octobre 2011. Saura t-elle retrouver son chemin qu’Habib Bourguiba le lui montré ?
Reconnaissant le rôle essentiel que la femme tunisienne a joué au cours de ces événements historiques, Ennahdha doit revoir son attitude et sa stratégie. J’ai mené une étude qualitative dans les villes à travers la Tunisie depuis Mars 2011 pour explorer les perspectives des femmes tunisiennes pour présent et avenir. Les conclusions de l'étude, résumées ci-dessous, donne un aperçu de ces perspectives concernant les événements récents, la transition démocratique, les élites politiques et les différents niveaux pour leur participation dans la vie politique. Les résultats de cette étude devraient être utilisés pour mieux informer et former les nouveaux décideurs tunisiens de ce gouvernement de transition. Les partis politiques et les organisations de la société civile, doivent prendre en considération les nuances des opinions des femmes tunisiennes. L'information dictent clairement qu’il est essentiel pour ce gouvernement de veiller à ce que cette constituante, la troïka et les élites politiques doivent répondre aux attentes des femmes et de la jeunesse au cours de cette transition encore fragile.
Les femmes tunisienne sont désireux de participer à la transition démocratique de leur pays, mais sceptiques sur les canaux disponibles. Les répondants ont été presque unanimes à exprimer une réelle volonté de participer à la transition politique de la Tunisie, en particulier à travers le vote dans les futures élections présidentielles et de l'assemblée. Une telle participation est considérée comme la logique de la prochaine étape pour tous les jeunes et les femmes tunisiennes qui sont fiers de leur rôle dans le renversement du régime de Ben Ali et aspirent à superviser la transition politique qui a suivi. En outre, après avoir seulement été témoin des élections falsifié, les femmes tunisiennes ont exprimé l'excitation profonde sur la perspective de l'élection de leurs représentantes.
Les tunisiennes se méfient, cependant, sur le processus politique et le rôle de cette constituante et de l'actuel élite. elles expriment leur inquiétude au sujet de personnes, des partis politiques et la société civile organisations qui tentent de profiter de la révolution pour des gains personnels. Cette réticence découle probablement d'une exclusion de longue date de la femme et de la jeunesse, comme la plupart des Tunisiens, de la politique Procédé. Ce phénomène qui a été, dans une moindre mesure étendue dans le passage des différentes cultures et régimes politiques. Les Partis Politique, qui ont été cooptés et marginalisés sous l'ancien régime, ont connu de faibles participations des femmes mais avec l’adhésion de certains jeunes avec de très faibles moyens financiers. Alors que dans les organisations de la société civile qui sont légèrement mieux organisées et financées, les femmes continuent à se méfier pour leur prêter un appui formel dans cette lutte.
La suite de cette étude vous sera communiquée par publication sur mon blog.
Tarek Abdellatif
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