Pour la dissolution de la présente constitution tunisienne.
NOUS DEVONS DEMANDER LA DISSOLUTION DE LA PRESENTE CONSTITUANTE.
LES MEMBRES ACTUELS SONT INCAPABLES DE MENER A BIEN LES OBJECTIFS TRACES PAR LE PEUPLE ET POUR LESQUELS ILS ONT ETE ELUS. APRES PRESQUE DEUX MOIS, ON SE TROUVE ENCORE AU POINT DE DEPART ET LA PRESENTE CONSTITUANTE A ELLE-MEME AVOUE QU'ELLE N'ETAIT PAS CAPABLE DE METTRE UNE NOUVELLE CONSTITUTION AU BOUT D'UNE ANNEE!
Politique Tunisienne : Une grande arnaque déguisée sous l’appellation de la « Démocratie »
Le Gouvernement en place et le Parti Ennahdha prétendent une légitimité acquise grâce à une démocratie populaire. Mais c'est quoi cette démocratie populaire ??
Le terme démocratie populaire est un pléonasme étymologique. Ce pléonasme s'explique cependant dans le cadre de l'analyse marxiste de la démocratie.
En effet, la démocratie populaire est un terme de propagande que se donnaient au XXe siècle les régimes se disant « à idéal communiste », pour se distinguer des démocraties libérales se donnant le nom de « démocratie », et que les démocraties populaires désignent plutôt sous le terme de « républiques bourgeoises » ou de
« pays capitalistes ».
Critiques et limites :
-1/ Aucune opposition libre : car il y a absence de multipartisme et d'élections libres et régulières.
-2/ La domination d’un parti sur un autre passe toujours pas l’utilisation de la
force.
Certainement, vous pouvez m’arreter et me contredire qu’il n’est pas le cas de la Tunisie et qu’il y a plus de 100 Partis politique. Je vous répondrai alors ne confondez pas entre les objets inértes de décoration et les organisations vivantes.
Alors qu’en t-il du CPR et d’ETTAKATOL ? Ne sont ils pas des Partis en action et qui sont meme représentés à notre assemblée constituante ?
Les apparences sont trompeuses. Les partis qui sont en total concordance et harmonie avec le parti du pouvoir sont dans une fusion totale avec l’ame d’Ennahdha. Les autres partis sérieux ont été ligotés par la dominance total d’Ennahdha.
Alors que faut il faire ?
Il fallait repenser cette démocratie d’une maniéres ou ses bases et ses fondements ne seront pas bafoués. Traitons alors ces principes.
Principes de la démocratie
La démocratie possède deux principes qui ne peuvent en aucun cas s'exclure l'un
l'autre et il faut qu'ils soient tous deux présents : la liberté et l’égalité.
A noter que certaines démocraties mettent davantage l'accent sur un principe plutôt
que l’autre.
La liberté
Les démocraties ne doivent pas aller à l’encontre de la liberté d'expression, de pensée,
de rassemblement, de religion, etc. (même si elles peuvent être réglementées).
Ainsi, bien que souvent taxée de « dictature de la majorité », la démocratie représente
tout de même la possibilité pour chaque simple citoyen d’affronter l’Etat, de faire
valoir ses droits, en l’accusant par le biais de la justice.
L’égalité
De même, les démocraties doivent s’attacher à l'égalité politique des citoyens. Égalité rendue totale lorsque ses citoyens, par le biais de l'instruction, acquièrent les connaissances de base nécessaires à l'accomplissement de leurs devoirs civiques.
Devoirs des citoyens
Le système démocratique implique deux devoirs qui forment des règles essentielles à la vie en démocratie, que résume très bien la phrase apocryphe de Voltaire : « Je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai pour que vous puissiez le dire » : L’expression d’opinions et de propositions.
Chaque citoyen doit d’une part exprimer son opinion et ses propositions, ou s'informer s’il manque d'éléments pour en avoir une.
Le respect d'expressions d’autres opinions Chaque citoyen doit d’autre part respecter l'expression des autres opinions. Ce qui ne signifia pas qu’un citoyen est tenu de respecter les opinions elles-mêmes.
Cette nouvelle forme de démocratie n’est autre que la démocratie directe et participative qui doit se basée sur la e-démocratie.
JE PROPOSE DE METTRE EN PLACE PAR LE BIAIS DU GOUVERNEMENT PROVISOIR COURANT DE METTRE EN PLACE UN REFERENDUM POUR LA DISSOLUTION OU PAS DE LA CONSTITUANTE. IL FAUT LAISSER LE PEUPLE CHOISIR: OUI OU NON!
Avant, faut il comprendre certains concepts relatifs aux Les socio-libéraux, socialisme libéral et/ou le social-libéralisme ?
Les socio-libéraux représentent un ensemble de penseurs qui ont voulu fonder un socialisme évitant une double impasse: "Celle d'un libéralisme économique trop confiant dans les vertus du marché et indifférent aux injustices, et celle d'un socialisme menacé de dérives autoritaires pour n'avoir pas intégré les acquis du libéralisme politique."
Le social-libéralisme est un courant du libéralisme qui met au centre de sa pensée le développement, tant intérieur que matériel, les êtres humains ainsi que leurs interactions sociale. Au plan politique, son éthique s'oppose à l'autoritarisme et cherche à impliquer les êtres humains dans le processus décisionnel d'où l'accent mis sur la démocratie. Au plan économique et social, il promeut des institutions cherchant à concilier liberté et égalité à travers notamment la mise en place de régulations ayant pour but d'établir une concurrence équilibrée et de politiques de redistribution visant à accroitre les capabilités des individus. Le social-libéralisme vise à traiter des problèmes économiques et sociaux en partant de l'étude des faits même s'ils sont déplaisants (notion d'hard-facts). Cela les mène à être plus inductifs, à partir plus de l'analyse des données que les économistes libéraux classiques qui raisonnaient de façon plus déductive.
Le socialisme libéral naît à la fin du XIXe siècle, en rupture avec la domination idéologique du libéralisme économique et son incapacité à "assurer aux moins favorisés du sort un minimum d'égalité". C'est bien la question sociale qui motive ces penseurs, dont on a du mal à réaliser qu'ils ont constitué en France un courant de pensée explicitement assumé, tant leurs écrits sont aujourd'hui ignorés, en particulier des économistes.
Le social-libéralisme en tant qu'idéologie au sens de Michael Freeden (c'est-à-dire en tant que favorisant certaines actions) a eu une influence notable sur la vie politique en France à travers le solidarisme et aux États-Unis, à travers le programme Nouvelle liberté (New Freedom) de Woodrow Wilson. Toutefois, cette idéologie n'est dominante qu'après la Seconde Guerre mondiale. Elle sera très fortement contestée à la fin des Trente Glorieuses et perd l'essentiel de son influence au profit notamment d'autres courants libéraux. Il lui est notamment reproché de ne pas assez impliquer les êtres humains dans le processus décisionnel et d'avoir cédé à la tentation de l'expertise, particulièrement forte en économie.
Qui a entendu parler, sans même envisager d'avoir lu, Alfred Naquet ou Paul Gaultier? Ou bien Leonard T. Hobhouse, du côté britannique, ou encore Carlo Rosselli, du côté italien? Et ceux- là ne sont que quelques figures de proue d'un mouvement intellectuel plus vaste, dont on trouve quelques prémices chez John Stuart Mill en Angleterre, dans la volonté de François Huet, en France, de réconcilier christianisme et socialisme, ou dans les écrits de Giuseppe Mazzini, visant à concilier liberté individuelle et solidarité sociale.
Concilier Etat-providence et libre concurrence. Ces socialistes libéraux sont socialistes, car ils défendent le droit et le devoir de l'Etat de réglementer le travail des enfants, des femmes et de tous les ouvriers. Ils réclament un salaire minimum et un Etat-providence pour couvrir les risques de maladie, de vieillesse ou de chômage. L'Etat doit assurer à la fois la prospérité de la nation et distribuer de la sécurité à la population. Mais ces auteurs se revendiquent également du libéralisme, dans la mesure où ils ne confient pas tout à l'Etat et, surtout, se veulent les défenseurs des bienfaits de la concurrence. L'Etat, en offrant la sécurité sociale et politique, doit être un agent d'émancipation de la liberté des individus face aux lois de la famille, de l'entreprise, etc., et on ne doit pas lui confier un pouvoir démesuré. Sur le plan politique, "le socialisme libéral incarne une gauche réformiste à la fois radicale et éloignée du communisme - qu'il a réfuté en dénonçant les impasses du totalitarisme - et de tout rejet principiel du marché", explique Serge Audier.
Sur nombre d'autres points, il se distingue également du libéralisme classique, l'autre grand courant du libéralisme et de fortes tensions entre eux sont perceptibles1. Aux États-Unis, le social-libéralisme, généralement classé à gauche, constitue le courant le plus important du libéralisme. En Europe, où son influence est plus modeste, il est parfois présent dans les branches qualifiées de centristes de partis politiques non extrémistes2. Le social-libéralisme commence à se constituer au milieu du XIXe siècle. Au niveau politique et social, il est alors très lié à l'université d'Oxford et émerge sous le nom de Nouveau Libéralisme.
Signé Tarek Abdellatif
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