La filière internet compterait pour 3,7 % du PIB français |
La filière internet compterait pour 3,7 % du PIB français |
Le rapport « Impact d’internet sur l’économie française » publié par le cabinet d’études McKinsey met en lumière une filière Internet responsable de près de 4% du PIB en 2010. Il faut dire que les analystes partent justement du postulat que l’on se trouve non pas face à un simple média, mais bien à une filière économique à part entière. |
 Le rapport McKinsey sur l’Impact d’internet dans l’économie française tient davantage de la revendication lobbyiste que du classique rapport d’étude. D’autant que le document a en partie été réalisé « avec le soutien » de Google. Reste qu’il éclaire le potentiel d’internet pour l’économie française enfin considéré comme une filière et non un simple média. |
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Dix-huit anciens ministres des finances et directeurs généraux du FMI donnent leurs préceptes.
L’économie tunisienne a pâti de l’ère Ben Ali. «La corruption, le népotisme, la prédation, l’absence de respect des règles de droit, l’imprévisibilité de la justice, ont considérablement porté atteinte au climat des affaires et à l’incitation à investir», affirme Mahmoud Ben Romdhane, professeur d’économie à l’université de Tunis, et membre du secrétariat du Ettajdid (ex-parti communiste). Particulièrement touchées, les entreprises privées tunisiennes.
L’économie tunisienne se porte plutôt bien. Seul point négatif, peut-être, un taux de croissance de 3.7% en 2010, alors qu’on espérait atteindre 5%. Et un taux de pauvreté qui augmente.
Pour certains, comme Kraft Foods ou l'Allemagne, 2010 aura été synonyme de succès ou de jolis coups marketing. Pour d'autres, comme BP, Toyota ou le gouvernement français et ses réformes fiscales, l'année s'est avérée catastrophique. Voici les 20 événements économiques, positifs ou négatifs, qui ont marqué l'année 2010.
Humoristiques, décalées ou percutantes, ces bons mots d'hommes politiques, d'économistes ou de grands patrons ont ponctué l'année.